Ce site étant Blindé de cul sous tous les angles, il ne reste plus grand-chose que mon œil n'ait pas entrevu et mis à part quelques égarés, pensant encore que Clitoris est une pièce de Racine, nous baignons dans une purée pornographique qui ne m'excite que les années bissextiles. L'originalité étant aussi rare qu'un vol de poules migratrices, je m’ennuie ferme à supputer que quelques olibrius auraient raison de ma lassitude.
Je voudrais de la grâce, de celle qu'on vit de temps en temps quand les corps plongent dans l'infini.. Des jours sans fin prédestinés à être unique, parce que c'est nous et pi c'est tout
Pas le pataquès d'une promotion pour de la baise au quart de tour, où l'on bouillave sans tentation. Pour s'faire la fête ad libitum et rentrer creuse d'une belle extase.
Y-a pas grand monde pour s'affoler que les stimuli sont tous les mêmes, que ça bagarre dans le porno-chic ou le viandard. Faut pas causer du délicat qui fuit ce site comme un migrant le condé de base. Y-a un chantier de bites odieuses et de moules à gaufres, qui s'accumulent comme du vieux sable au bord de mer.
Moi, je veux voir ta chair de poule quand je caresse ta vertu, que tous tes maux s'excusent enfin de nuire à ton plaisir et qu'oublieux de nos passés nous inventions une parade, moins que nuptiale mais plus qu'aimante
De tous ces corps qui se pavanent, j'oublie trop tôt leurs beaux prénoms, reste un cumul de miches et de boules plus ou moins gais selon les heures. Rien qu'un sourire me rendrait folle tant les visages s'en trouvent absents.
Mais je divague à trop parler de l'impossible sur ce con de site où surgirait l'orgasme fin de toutes les femmes. Restent un soupir et des adieux.
Sur ce, je vous laisse, je suis reine des abeilles au festival de conne
Commenti