- Je te boufferais bien la chatte ...je te doigterais doucement puis fort ... Et évidemment je te prendrais comme une chienne... Après avoir rigoler, discuter et te charmer
Bon !Alors.. Heu, comment dire....
Nonobstant l'orthographe et la concurrence en matière de pornocratie généralisée, je n'ai pas eu la force de répondre à son désir de me prendre comme un canidé batifolant dans les herbes folles...Et ce, même si cet aristocrate de charme me promettait quelques raffinements à base de dialogues et de blagues
Il est vrai que le lien vaguement anthropophagique qu'il entretient avec les chattes, me laisse à penser qu'il ne me resterait qu'un bout de viande en guise de vagin, qu'il doigterait « doucement puis fort » pour évaluer les dégâts.
L'évidence canine qu'il indique comme étant inhérente à tout rapport sexuel , me laisse aussi imaginer que ce qu'il me resterait de partie génitale après son apéritif cunniphage serait dégommé, façon ovaires en vrac, sur les bases rythmiques d'un marteau-piqueur. Le tout en beuglant furieusement des mots que la morale réprouve en présence d'une femme du monde.
Je passerai sur ce que ma mâchoire, dont la grande l'élasticité reste à prouver, devrait assurément subir pour éviter qu'il n'atteigne ma carotide et ainsi dilapider mes chances de survie à l'annonce de son éjaculation bucco-laryngique
Mon appétence pour les militaires et les concours de bites dans les casernes ne m'ayant pas été inculquée étant donné ma condition féminine, je garderai donc une distance réglementaire avec ce général d’infanterie qui use des mots comme un grognard envahissant la Prusse.
Sur ce, je vous laisse j'ai concours de Twirling bâton avec un troupeau de majorettes
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